L'intruse

Je ne sais pas exactement qui sont les commanditaires mais il y a presque un an, quelqu'un s'est introduit chez moi pour me nuire. Ça peut vous paraître incroyable mais voici les faits qui se sont produits le 25 novembre 2020, au matin.
J'étais seul chez moi car mon épouse venait de sortir après s'être longuement préparé dans la salle de bain. Je me dirigeais vers la salle de nain pour me laver les dents. Et là, je vois que de l'eau ne cesse de couleur du lavabo, inondant le sol ! Je ferme le robinet en me demandant comment ma femme a pu laisser le robinet ouvert en partant sans s'en apercevoir. La seule explication que je trouve, c'est que comme ça s'était déjà produit il y a bien longtemps avec un ami qui logeait chez moi, il y a eu une coupure d'eau au moment où ma femme voulait se servir du lavabo, que me femme est alors partie laissant le robinet ouvert et que la coupure a alors cessé après son départ.
Le pire dans tout ça, c'est qu'une fois revenue à la maison et voyant ce désastre, c'est moi que ma femme va accuser et j'aurai à m'engueuler avec elle pour rétablir la vérité.
Mais c'est à moment là qu'à ma grande surprise, je découvre que ma femme est encore là, assise sur le bord de la baignoire et me regarde passivement ! Alors, évidemment, je lui demande pourquoi elle est toujours là... Mais je réalise que ce n'est pas ma femme mais une autre femme, très jeune !

J'interroge cette intruse. Je vois qu'elle n'a rien à me dire. Je me dis que la seule chose que je pourrais faire avec elle serait d'ordre sexuel et d'ailleurs, j'ai le fort sentiment qu'elle est venue spécialement pour ça. Je crois même qu'elle a été envoyée par je ne sais qui pour tester ma fidélité. Et bien, elle perd son temps ! Je l'attrape par le col et l'emmène vers la sortie. Je suis violent avec elle, la frappe et l'amène dans le couloir.

Et là, voilà qu'elle se transforme en homme blond et musclé. Je ne m'étais donc pas trompé: cette pseudo-femme était donc bel et bien un piège ! Mais je n'ai pas peur et continue d'amener cet intrus vers la sortie. D'ailleurs, cet homme, bien que très musclé, à l'air très peureux et me supplie de rester.
J'arrive à le mettre hors de chez moi, mas pas totalement : un bras reste à l'intérieur. J'essaie de refermer la porte sur lui. Il suffirait d'un peu plus de force pour pouvoir le mettre à la porte et ainsi m'en débarrasser.

Mais il me résiste et alors que je le tape avec la porte, il devient subitement violent et réussit à revenir dans la maison pour se battre avec moi.
Il est très agressif, haineux. Je me défends comme je peux et commence à avoir un peu peur.
J'ai finalement réussi à m'en débarrasser mais qui pourra sérieusement nier qu'il existe un complot contre moi pour détruire ma vie, à commencer par mon couple ?

Jésus, de gauche ou de droite ?

Être chrétien, est-ce être de gauche ou de droite ?

Sachant qu'être chrétien, c'est suivre le chemin du Christ, la question à se poser est: Jésus était-il de droite ou de gauche ?

Une telle question peut sembler oiseuse et elle me le semblait à moi-même encore il y a quelques mois.

Non seulement parce que les notions de gauche et de droite n'existaient pas du temps de Jésus mais surtout parce que ces notions sont très relatives, que les idées qui furent de gauche à une certaine époque devinrent de droite à une autre époque et réciproquement.

Cependant, au-delà de la relativité des différents clivages qui ont pu caractériser la gauche et la droite en différentes époques, il semble qu’il y a quand-même un clivage invariant : le combat entre les anciens et les modernes, clivage qui existait avant même que des parlementaires se positionnent entre gauche et droite.

Et depuis 1789, malgré les aléas historiques, c’est généralement à droite qu’on trouve les adeptes de la conservation et à gauche, les adeptes du changement.

Or, il se trouve que ce clivage existait déjà au sein du Sanhédrin à l’époque du Christ : d’un côté, les pharisiens qui étaient les réformateurs et qu’on peut donc considérer comme la gauche de l’époque et de l’autre, les sadducéens, conservateurs, que l’on peut donc considérer comme étant la droite.

Des Évangiles, on a retenu des pharisiens leur attachement scrupuleux au respect de la loi. Ce qui est tout à fait en cohérence avec leur réformisme : plus on se vante de respecter la loi, plus on a intérêt à en être l’auteur et donc à la réformer sans cesse. Résoudre les problèmes posés par la loi en créant d’autres lois, voilà une attitude typiquement de gauche et c’est ce que firent les pharisiens avant la mort du Christ et plus encore après sa mort, durant des siècles de Talmud, ayant pris le contrôle total du judaïsme suite à la destruction du Temple.

Les sadducéens, quant à eux, étaient beaucoup moins attachés au respect de la loi qu’ils n’avaient aucun intérêt à réformer, ayant appris à s’en accommoder et n’ayant aucune raison d’en créer de nouvelles. D’où leur attitude conservatrice qui les faisaient s’en tenir à la Torah et rejeter tous les ajouts pré-talmudiques des pharisiens.

La gauche pharisienne était tournée vers l’avenir, espérant le grand soir cours duquel le Messie viendrait libérer Israël du joug romain.

La droit sadducéenne était composée de riches notables souhaitant éviter toute agitation politique et tâchait de garder de bonnes relations avec l’occupant romain.

A l’extrême-gauche, les zélotes, telle une branche armée des pharisiens, n’attendait pas l’arrivée du Messie pour organiser la rébellion et aux discussions sur la loi préféraient l’action violente en vue de la victoire contre l’impérialisme romain, l’abolition de la grande propriété et la libération des esclaves. Et les sicaires, tendance la plus extrémiste de cette mouvance, pratiquaient des assassinats ciblés contre des juifs collaborant avec les romains.

A l’extrême-droite, les esséniens se proclamaient les véritables héritiers du grand-prêtre Sadoq dont les sadducéens avaient selon eux usurpés le nom. Sédévacantistes avant l’heure, ils refusaient la fréquentation du Temple occupé selon eux par des usurpateurs et préféraient se couper du monde qu’ils abhorraient en se retirant à la campagne et dans des grottes, tout en proclamant la haine de Dieu contre les pêcheurs juifs, les païens et les romains.

Pour savoir si Jésus était de droite ou de gauche, extrême ou modérée, regardons donc quelle était l’attitude ce dernier vis-à-vis de ces différentes sectes.
• D’abord, on sait avec quelle violence Jésus dénonçait l’hypocrisie et le fétichisme légaliste des pharisiens.
• Et cependant, ce sont les sadducéens qui furent à l’initiative de son procès et donc de sa mise à mort. Inquiets des troubles qu’il pouvait provoquer, ces conservateurs, selon une conception pré-vichyste du patriotisme, craignaient que ce Jésus ne provoque la colère de l’occupant romain et que de cette colère ne résulte la destruction de la nation.
• Ils obtinrent cependant pour cette condamnation le concours des pharisiens. Face à un péril commun, la gauche et la droite savent très bien dépasser leurs clivages pour réaliser l’union sacrée.
• Mais les quelques membres du Sanhédrin qui rejoignirent Jésus étaient des pharisiens : Nicodème, Gamaliel l’ancien, Joseph d’Arimathie.
• Jésus fut aussi suivi par Simon le zélote et Judas le sicaire, mais on le sait, il fut trahi par ce dernier.
• Les Évangiles ne nous disent rien des liens entre Jésus et les Esséniens. Certains historiens pensent que Jésus était issu de cette mouvance. Pourtant, quelle différence radicale entre l’attitude de repli des esséniens et l’appel du Christ à apporter la bonne nouvelle au monde, entre la croyance essénienne en un Dieu haïssant les pêcheurs et le Dieu miséricordieux incarné par le Christ ! Mais ces historiens répondent qu’ils y avaient différents tendances aux seins des esséniens et que les premiers chrétiens était l’une d’elle.

Si on tire enseignement des Évangiles, un chrétien doit donc :
• Dénoncer sans tiédeur l’hypocrisie de la gauche, sa morale frelatée, son légalisme mortifère et son fétichisme réformateur.
• Dans le même temps, se méfier de la droite comme de la peste car les conservateurs, même quand ils prétendent conserver des valeurs, voire des valeurs chrétiennes, ne conservent au final que leur situation confortable et seraient prêts à tuer dix fois le Christ si celui-ci revenait mettre en cause ce confort.
• Ne pas oublier que lorsque la gauche et la droite s’unissent, c’est généralement pour le pire, c’est-à-dire pour protéger les royaumes de ce monde dont Lucifer est le prince contre la menace divine.
• Savoir qu’au sein de la gauche, malgré l’hypocrisie qui y règne, on trouve quelques âmes réellement assoiffées de justice et de vérité, et savoir les accueillir.
• Dans le même ordre d’idées, accueillir les bonnes volontés venant de l’extrême-gauche mais se méfier des gauchistes orgueilleux qui prétendant faire la révolution veulent en vérité faire de la révolution leur chose, qu’ils pourraient contrôler, et que leur orgueil peut les amener à devenir les pires traîtres au service du pouvoir
• Comprendre que l’extrême-droite a raison de dénoncer radicalement la laideur du monde contemporain. Comprendre qu’elle a tort de répondre à cette laideur par le repli et la haine plutôt que par l’amour et la miséricorde. Accueillir les fachos comme les gauchistes pour peu qu’ils renoncent à cette haine et ce repli.

La gauche et la droite, ce sont deux manières différentes de refuser l’avènement du royaume des cieux qui est abolition des royaumes de ce monde.

A droite, les sadducéens entendent préserver ces royaumes par leur posture conservatrice.

A gauche, les pharisiens veulent sauver ces royaumes dans une fuite en avant réformiste.

Les uns comme les autres seront balayés avec l’avènement de la nouvelle Jérusalem.

Le Christ n’est évidemment ni de la droite ni de la gauche car il est le feu divin qui détruit l’une et l’autre.

La gauche est-elle le "camp du bien" ?

La gauche est-elle le camp du bien ? Voici la question posée par Usul dans une de ses vidéos. A l'origine de cette question, un mot lancé par Elizabeth Lévy excédée contre le "camp du bien". Usul répond: non, c'est la droite qui est le camp de l'ordre moral, la gauche est au contraire ce qui s'y oppose bien qu'elle adopte parfois un discours moral par stratégie rhétorique.

Usul dit la vérité sur cette question.

La gauche est depuis la révolution française le camp de l'oligarchie maçonnique qui lutte à mort contre la morale chrétienne authentique dans la mesure où elle est un obstacle à l'enrichissement de ces mafieux.

Mais cela, elle ne pouvait évidemment pas le faire en clamant haut et fort son immoralité. Il fallait donc pour abbattre la morale traditionelle élaborer une autre morale, pseudo-morale abstraite et artificielle à base d'idées vagues: liberté, égalité, fraternité, citoyenneté, laïcité, anti-racisme, féminisme...

C'est lorsque, fatigués de prêchi-prêcha, certains en viennent à s'énerver contre ce prétendu "camp du bien" que serait la gauche, qu'on envoit alors un Usul rappeler que la morale, c'est la droite, autrement dit que la gauche est l'adversaire de la morale.

Et ce faisant, il dit pour une fois l'exacte vérité: la gauche n'est pas le camp du bien car elle est depuis toujours le camp qui lutte contre la morale saine et authentique.

Pour autant, n'allons pas croire que la droite soit le camp du bien. La droite, depuis longtemps, ce ne sont que d'autres gangsters parfois membres des mêmes loges maçonniques que leurs prétendus adversaires de gauche et qui même s'ils se prétendent parfois les défenseurs de la morale traditionnelle ne sont au final que les alibis de la république maçonnique et ploutocratique.

Ouvrez les guillements - La gauche est-elle le camp du bien ?

TA LANGUE

De nouveau t'embrasser... Oh... De nouveau connaître l'insolence de ta langue, la chaleur de tes jambes, la si troublante générosité de tes seins...

Toi, le coeur doux, le seul avec qui j'aimerais vivre éternellement...

De nouveau, nous jouerons avec nos visages... Et nos nez, doucement, se cogneront, ô jeu enfantin sublimé par ta douceur, notre amitié, mon sentiment...
Mes narines respireront l'or de ta peau...

Et nos lèvres, gentilles petites... elles oseront s'unir... oseront chanter l'orgie de salive...

Et ta langue, infiniment provocante, infiniment insolente, infiniment audacieuse, ta langue, anarchiste absolue, qui ne connaît aucune limite aucune règle, aucune pudeur lorsqu'elle désire... Tu embrassais si bien avec ta langue... Aurais-je encore le bonheur de la sentir se plonger en moi, ta langue ?

Oh, misère !

Ne pourrai-je donc jamais en ressentir à nouveau la volupté, de cette langue ? Ne pourrai-je donc pas à nouveau l'attraper de mes lèvres, la dévorer, l'engloutir, cette langue ?

...ce secret que tu caches au fond de toi.

VICTIMES DE LA RELIGION

Les journalistes et dessinateurs assassinés de "Charlie Hebdo" sont des victimes de la religion et du fantatisme.

Mais ils ne sont pas seulement des victimes de l'Islam.

Ils sont aussi des victimes de leur culte fanatique de la liberté d'expression, de la démocratie et des droits de l'Homme.

L'ANGE À LA TROMPETTE

Lu "L'Ange à la trompette", roman d'Ernst Lothar. Sur-titré "Roman d'une famille à Vienne".

Le titre du roman fait référence à l'ange qui sert d'écusson à la maison où loge cette famille. Il serait fastidieux de faire la liste de tous les membres de cette famille. Je me contenterai donc des principaux protagonistes.

Franz Alt, patron d'une fabrique de pianos, se marie avec Henriette, fille du professeur Stein, dont le nom laisse deviner des origines juives, bien que la famille soit convertie au catholicisme.

Hans, premier enfant né de cette union, qui reprendra la fabrique de son père, se marie avec la comédienne juive Selma jouant entre autres le rôle de Jeanne d'Arc, élève de Sigmund Freud et acquise à la sociale-démocratie.

Selma est assassinée par Hermann, frère de Hans converti fantatiquement au nazisme qui tentera vainement de faire accuser sa propre mère pour faire d'une pierre deux coups. Puis avec l'annexion de l'Autriche par Hitler, Henriette Alt est tuée et la fabrique de pianos retirée à Hans.

Ce "roman d'une famille à Vienne" est donc le roman d'une famille bourgeoisie de Vienne qui connaîtra une fin tragique avec l'avènement du nazisme pour s'être quelque peu enjuivée. Un roman quelque peu autobiographique quand on sait que l'auteur lui-même dû fuire l'Autriche pour les mêmes raisons.

Un passage intéressant du roman est l'idylle entre Martha-Monica, soeur de Hans et le comte Gaetano Orbellini, diplomate italien et militant fasciste.

A cette occasion nous est rappelé que les fascistes furent d'abord opposés aux nazis, plus encore qu'aux bolchéviks, notamment sur le terrain autrichien ! Vérité que nous a fait oubliée la propagande déversée par ces fabriques à crétins que sont la télévision et l'éducation nationale pour qui "fascisme" et "nazisme" sont quasiment synonymes.

En effet, le comte Orbellini propose à Hans de participer à la création de milices facistes afin de contrer l'influence nazie en Autriche.

"Je recommanderais, et même vivement, d'organiser immédiatement dans toute l'Autriche, une milice armée suivant le modèle fasciste, destinée à protéger la population contre le terrorisme communiste et la menace plus grave encore du nazisme. Au moment propice et quand la milice sera organisée, les armes et l'appui nécessaire lui seront fournis."

Le refus de Hans et la réponse du comte sont révélatrices.

"- En ce cas, je ne suis pas votre homme, dit Hans. Excusez-moi , mais un parti qui a choisi les faisceaux pour symbole ne m'insipire qu'une sympathie relative.
- Tout le monde ne peut pas avoir comme emblème un ange armé d'une trompette, répondit l'talien"

Les symboles ont leur importance et il y a une morale politique à cette histoire: pour avoir préféré l'angélisme de la social-démocratie à la virilité du fascisme, la famille Alt-Stein subira la punition du nazisme.

Pour avoir préféré Hitler à Mussolini et pire encore, pour avoir jeté Mussolini dans les bras de Hitler, l'Europe subira le châtiment de la seconde guerre mondiale.

Mais l'oligarchie à l'origine de cette préférence, elle, en sortira renforcée. Quand on connaît la suite de l'histoire, on comprend pourquoi elle préféra favoriser un fou-furieux racialiste primaire et belliciste face à des nationalismes plus sérieux.

Car le fameux mot d'ordre maintes fois ressassé "plutôt Hitler que Blum", s'il cache d'abord le fait que Blum laissa faire Hitler, cache aussi le fait qu'il y eut cet autre mot d'ordre: "plutôt Hitler que Mussolini".

Aujourd'hui encore l'oligarchie préfère les néo-nazis ukrainiens au "fasciste" Poutine, les criminels de Daesh et Al-Nosra au "dictateur" Bachar El Assad.

La dernière phrase du roman est celle d'une femme parlant à la radio, reprise de la réplique de l'actrice Selma déclamée quelques chapitres plus tôt sur une scène de théâtre: "Je vous libérerai de la peur !"

Pour nous libérer de la peur, les anges de la social-démocratie sont parfois - parfois seulement, et souvent au plus mauvais moment - des experts.

Mais qui nous libérera du mal ?

L'Ange à la Trompette - par Ernst Lothar

Ne confondez pas le soleil avec une poubelle

Un matin, en me réveillant et en ouvrant les volets, je fus très surpris de voir que le soleil avait changé de couleur : il était vert ! Mais en y regardant de plus près, je compris qu'il ne s'agissait pas de soleil, mais d'une grosse poubelle qui en raison de la grève des éboueurs avait finit par se mettre en lévitation pour manifester son impatience.

Des nouvelles littéraires de mon cul

A la guerre comme à la guerre me disait ma mère !

Voilà, c’était le poème du jour.

Si ça vous a plu, je vous conseille de vous préparer à vous procurer mes ouvrages qui sortiront ce mois-ci:

* Mon amie la pute a quelque chose dans sa poche que j’avais oublié chez mon frère
* Pitchoboul: le matchamone qui roucouchcouche
* Il était une fois… deux fois… plus trois font vingt-neuf
* Oh là là si tu voyais mes genoux
* Gringalet le parmentier
* Il n’était pas des notres… Oh que non !
* Mon zizi a dit oui
* Par moment ça glisse
* On a pas pu le pouvoir
* Et dans ton gel… ça caille

Depuis que j’ai commencé ma carrière littéraire, j’ai du publiquer quelques dizaines de centaines de livres.

Je suis l’écrivain le plus prolifique de ma génération.

Christine Angot, elle peut aller se rhabiller et Yann Moix, n'en parlons pas.

La gauche est le camp du mal !

Face à la pharisienne hystérique Élizabeth Lévy, le peu reluisant gauchiste Usul se défend: "non, la gauche n'est pas le camp du bien". Il a en cela parfaitement raison. La gauche n'est pas "le camp du bien" puisque précisément, elle est le camp du mal.

Elle n'a jamais cessé de combattre l'ordre moral, en effet, car est le parti du désordre immoral.

Pour ceux qui n'en seraient pas convaincus, voyez comment elle encourage avec succès les sept péchés capitaux: la paresse en développant l'assistanat à tous les niveaux, la colère en faisant l'apologie des casseurs et autres séditieux des sans-culottes aux voyous gauchistes et immigrés en passant par les communards, l'envie par sa folie égalitariste, l'orgueil par son relativisme démocratique qui encourage chacun à se croire penseur et artiste, la gourmandise en fournissant aux chômeurs et fonctionnaires improductifs de quoi se goinfrer et évidemment la luxure avec sa dite "libération des mœurs"...

Si nous n'y mettons pas un terme, un tel immoralisme ne peut que détruire lentement notre pays et ruiner son économie.

Usulation

Usul suce un lapin, sauvagement usurpe certaines enveloppes, unanimité néfaste, lentement apostrophée pour induction népotique.

Amoureusement, maman ourse urine rouge et utile sur ennemi magnanime et nigaud triste, voilà où inscrire tout; évidemment mourir entier traduit ton regret emphatique, car habiter avec tes ouailles nuit.

Mais avoir initié suit ou nuit, un titre idiot lui inspire souvent en suçant ouvertement un vagin entâché, non trituré, titillé originellement, non abîmé, mais imbibé, très impeccablement émietté car habituer un dromadaire en hélant amicalement bébé iguane timide, un élan lentement lyophilisé emmerde magistralement ennemi télégénique; évidemment, toute emprise imite nostalgiquement ton empire.

Big brother éducatif

Notre contribution à la campagne vaccinale en cours auprès des jeunes de notre pays...

Jeunesse vaccinée, jeunesse libérée

L'occasion de nous remémorer les paroles de notre ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer, le 18 juin 2020, devant la Commission d'enquête du Sénat sur la radicalisation islamiste : "Je suis de plus en plus favorable à une vision où l'emploi du temps de l'enfant serait vu pas seulement sur les heures de cours mais un petit peu sur ce qui se passe dans sa vie le mercredi et le week-end, sans arriver à un big brother éducatif."

MASSACRE PORCS

Est-ce que vous vous imaginez à quel point ma vie est difficile ? Non, seulement, j'exerce un métier très difficile: journaliste pour le "Journal des Infos". Mais comme si ça ne suffisait pas, je dois me battre régulièrement contre un complot visant à détruire mon couple.

Le 26 novembre 2020, je suis tranquille dans mon séjour. A ma fenêtre, je vois une femme de profil. Je détourne mon regard en me disant qu'il n'y a là rien que de très normal : cette fenêtre donne sur la rue et on y voit tous les jours des homme et des femmes passer. Sauf que... je suis au premier étage et non au rez-de-chaussée et la vision de cette femme est anormalement grande comme si elle était tout près de la fenêtre ! Un peu effrayé, je tire le rideau pour la regarder plus attentivement. Maintenant, je la vois de face. Elle est au milieu de la fenêtre et me regarde ostensiblement avec un sourire narquois.
Ah, c'est bon, je comprends : encore une de ces femmes qu'on m'envoie pour tester ma fidélité. Elles pullulent autour de moi, ces derniers temps. On est clairement dans du harcèlement collectif de grande envergure.
Mais peu importe, elles perdent toutes leur temps. Et pour bien lui signifier, je me moque ostensiblement d'elle en lui faisant des grimaces et des pieds-de-nez. Je voudrais qu'elle comprenne et qu'elle s'en aille, mais elle ne bouge pas d'un pouce et continue de me fixer avec le même sourire malsain. Alors, je décide de pousser plus loin l'irrespect en baissant mon pantalon et mon slip pour lui montrer à quel point je m'en branle, de sa gueule, au sens propre comme au sens propre comme au sens figuré. Mais je réalise que ce n'est pas une très bonne idée : me masturber devant cette femme, n'est-ce pas déjà entretenir un rapport érotique avec elle ? Aïe aïe aïe... Jean-Michel, tu étais en train de tomber dans le piège ! Allons, ressaisis toi ! Oublie cette salope et va plutôt faire un reportage !

Je remonte donc mon slip et mon pantalon et cherche mon téléphone pour y trouver mon ordre de mission. Je le trouve dans la chambre d'à côté. En guise d'ordre de mission, je ne lis que ces deux mots: "MASSACRE PORCS". Qu'est-ce que ça veut dire ? Probablement que dois faire un reportage dans des abattoirs de porcs. Allez, en route ! Je commence par revêtir ma tenue du journaliste neutre du "Journal des Infos", autrement dit par me mettre entièrement nu. Puis je me dirige vers le couloir et sors de mon appartement.

Dans le couloir de l'immeuble, il y a un placard. Je l'ouvre et examine en détail tous les branchements, outils et autres objets qui s'y trouvent, histoire de vérifier que j'ai bien les yeux en face des trous. Le test est concluant : je suis en bonne condition pour faire un reportage. Mais un autre gros problème survient : tout nu dans l'immeuble, très excité, je ressens une irrépressible envie de me caresser. Je m'assois le dos au mur et commence à me masturber langoureusement. Et même temps, j'entends des pas dans l'escalier qui viennent d'en bas et se rapprochent de mon étage. J'espère que c'est ma femme. Malédiction : c'est la femme qui était à la fenêtre ! Peu importe, je continue ma besogne sans prêter attention à elle. Et d'ailleurs, elle passe son chemin, comme si elle habitait dans l'immeuble en faisant comme si je n'existait pas...

Si ceux qui complotent contre moi en m'envoyant toutes ces tentatrices me lisent, qu'ils en tirent cette leçon : jamais, ils ne réussiront à détruire mon couple ! Par contre, concernant ma vie professionnelle, je suis bien obligé de reconnaître les dégâts puisque je n'ai pas pu faire le reportage sur les abattoirs porcins avec toutes ces conneries.

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