Arrêtez de vous branler, ébranlez vous !

Arrêtez de vous branler, masturbez vous !

Vous avez mille fois raison, Belinda dite "sans tabous".

Mais ceci n'est qu'une première étape.

  1. Arrêtez de vous branler, masturbez-vous.
  2. Arrêtez de vous masturber, caressez-vous.
  3. Arrêtez de vous caresser, laissez la vague, le soleil et le vent vous caresser.
  4. Arrêtez de vous offrir aux caresses venues de l'extérieur afin de laisser votre désir de caresse vous brûler de l'intérieur jusqu'à rencontrer celle qui saura vous prodiguer les caresses que vous attendiez et recevoir celles que vous rêviez de donner.

Mon laboratoire secret

Être journaliste, pour moi, ce n'est pas uniquement aller dans la rue pour observer et interroger les gens. C'est aussi avoir un petit laboratoire secret pour faire des expériences afin d'étudier sérieusement tous les sujets. Mon laboratoire se trouve au sous-sol. On trouve tout un tas d'objets très divers dont j'ai fait l'acquisition au fur et à mesure des sujets sur lesquels j'ai travaillé en tant que pigiste. Ce qui pourrait choquer le visiteur non averti, c'est d'abord de très nombreuses armes : bazookas, mitraillettes, grenades, revolvers... Tant d'objets acquis dans le cadre de mon reportage sur les trafics d'armes en banlieue. Il fallait bien que je sache s'il est facile de se procurer ces armes, de les stocker sans se faire choper et comment les conserver et les utiliser. Une autre partie de mon laboratoire est un mini-zoo rempli d'insectes, d'oiseaux, de reptiles, de rongeurs, et aussi quelques chats... J'ai entrepris cet élevage lors des débats sur le mariage pour tous. Comme je souhaitais étudier l'homosexualité chez les animaux, j'ai regroupé la moitié de chaque espèce dans des espaces mixtes et pour l'autre moitié, j'ai séparé les mâles et les femelles. Ceci afin d'observer à partir de quel moment et dans quel cas ils ou elles en venaient à se livrer à des actes homosexuels. Dans mon laboratoire, on trouve aussi des objets insolites acquis lors de mes différentes investigations comme un panier rempli de petites culottes collectionnées par une bande de trois ou quatre maniaques sexuels violeurs et fétichistes. Il y aussi un congélateur occupé par mes excréments déféqués à l'occasion de mes différents voyages, ceci afin d'étudier la qualité de l'alimentation de chaque pays. Il y aussi un tatamis que j'avais acheté à l'époque où je devais faire un article sur le judo mais depuis, je l'utilise surtout pour y inviter des prostituées avec qui je peux tester les pratiques sexuelles du moment.

Le plus encombrant dans mon laboratoire est un cadavre de vache folle que j'ai disséqué pour étudier la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Le jour où j'ai ouvert cette vache avec mon scalpel, les entrailles m'ont sauté à la figure. Le seul moyen que j'ai trouvé pour calmer ces organes trop vivants, c'est de les enduire de charbon. Mais il faut que je le fasse tous les jours, sinon elles se réveillent. Mais j'ai remarqué que ça marchait aussi avec du goudron, du pétrole et même de la peinture noire. Il semble que ça marche avec n'importe quoi, du moment que c'est de couleur noire. À moins que les abeilles ne s'enculent, je ne saurais jamais assez maculer de noir les bêtes entrailles qui se répandaient sur ma gueule et que ma mitraille doucement sereine finirait par licencier sans préavis. Avec tant de douloureuses facéties, les impérialistes cachés sur le tatamis onctueux eurent tôt fait de massifier la plantureuse vitrification des arbalètes mal séparées au-delà de la facilité grégaire. On ne peut pas voir qu'il est plus simple de chanter à brûle-pourpoint que de sacrifier très vindicativement sur un panier magique que les mousquetaires du viol avaient consacrés. Se payer une pute, c'est pas vraiment un truc génial mais se le payer avec de la crème fouettée sur la gueule, c'est carrément trop de la balle que tu prendras dans la gueule le jour où la reine des féministes te montrera son cul qui pète et que t'auras l'air con comme une bille qu'on avait lancé du haut d'un immeuble construit sur les ruines d'une civilisation disparue avant même d'avoir pu massacré les civilisations qui l'avaient précédé. Ne te détourne pas des études mystifiantes qui te succédèrent avec le massacre de ton gland gentiment préparé par les armées d'anges et de lutins qu'il fallait bien produire pour pouvoir supputer un nouvel orage et un ancien abâtardissement. On se croirait en Italie quand ma gentille petit suite de merdes jaunes avait tambouriné les putassières interceptions du nord. Maquereau débile, tu crois que tu peux t'endormir sur un nuage alors que la plupart du temps, tu ne sais même pas ce qu'est dormir pas plus que tu ne sais ce qu'est s'éveiller. Et tout ça, comment peux-tu le savoir si tu n'as pas toi aussi, ton petit laboratoire secret ?

Réveille-toi !

Mon cher lecteur, permets moi de te tutoyer. Évidemment, je ne me permettrais jamais de tutoyer mon lecteur quand j'écris un article pour "Le Journal des Infos". Mais justement, ici, ce n'est pas le journal, c'est mon blog personnel et je me permets de te tutoyer pour te parler en toute franchise car j'ai des choses importantes à te dire. Cher lecteur, tu es à côté de la plaque. Je te le dis amicalement. Je ne sais pas si tu es de ceux qui ont peur d'Eric Zemmour car ils ont peur du fascisme ou de ceux qui ont espoir en lui mais dans les deux cas, tu te trompes. Tu te trompes si tu crois qu'il va sauver la France et s'il te fait peur, tu as peur de mauvaises raisons. La vérité, c'est que le vrai nom de Zemmour est Zemor, qu'il est un extra-terrestre , héritier d'une longue dynastie et que son véritable projet est la conquête de la planète Terre.

Un météorite fonce dans la campagne tandis que trois fantômes surgissent.

Tout ça, tu ne le sais pas car tu n'es conscient de rien. Chaque jour, tu te réveilles et tu t'endors mais tu ne comprends rien à ta vie. La plupart du temps, tu ne sais même pas ce qu'est dormir, pas plus que tu ne sais ce qu'est être éveillé. Revois ta position binaire sur les enfantements gigantesques et multiprises dont ami gentil le facteur mystique des foutaises invariantes a su retenir le bruit. A quel détour les endives volantes nous forcèrent lorsque nous les vîmes ouvrir leur gueule et nous menacer de foutre en l'air la totalité des parades multiples entachées seulement de paradoxales médailles ? Apprends bien, mon ami que c'est à tes dépens que les pisseurs de merde vont envahir la terre entière pour y mettre comme dirigeant le sympathique Zemor IV, adorateur des biscornus méchants sur la platitude magique du purin bijoutier. A la table des correspondants, on se pince en pensant à la fabrication des embouteillages qui ne sut jamais rien créer d'autre que des funiculaires intemporels dont mon partisan cousin avait pourtant révélé le caractère délétère. Évidemment pour toi, tout ça, c'est du chinois. Parce que tu es endormi. Même quand tu es soi-disant éveillé, tu ne fais que dormir debout. Réveille-toi, putain !

Achékéléby

Achékéléby...
Ouikoiyaya tauftofoufnil !
Rwoutinj !
Rwoutinj !
Rwoutinj !
Fouk...

LGBTQQIAAP

Ainsi donc, il faudrait que chacune de nos fantaisies sexuelles soit répertoriée, classifiée, normalisée...

L'État et la bourgeoisie ont toujours été hostiles à la marge. Autrefois on tentait de l'anéantir en réprimant les individus. Aujourd'hui, c'est tout à fait différent, on élimine la marge en la décrétant normale et ainsi on nous normalise soi-disant pour notre bien et avec notre concours, on entend nous répertorier et nous légifèrer. Méthode bien plus efficace.

Et pour quel bénéfice faudrait-il que nous nous battions pour être "reconnus", déclarés normaux ?

Parce que, hurlent les militants LGBTQQIAAP, cela nous apporterait des droits.

Mais je n'ai que faire de ces droits !

Les seuls droits qui m'importent sont ceux que je me donne à moi-même.

Et je me donne le droit de jouir pleinement de la vie sans la perdre un seul instant dans du militantisme grotesque et des considérations sociétales oiseuses.

Pas de facho dans mon plumard !

Salut, je cherche une nouvelle copine qui soit de gauche, féministe, anti-fachiste, anti-capitaliste, anti-raciste et anti-sexiste.

Je viens de rompre avec une fille avec qui je ne pouvais plus vivre tellement elle était réac. Pleine de préjugés sexistes, elle arrêtait pas de me faire chier à me demander de descendre les poubelles, de faire du bricolage sous prétexte que “c’est un boulot d’homme”.

Moi, j’étais toujours prêt à partager les tâches et lui faire sortir de la tête ces stéréotypes de merde. J’essayais toujours de faire la vaisselle et même le ménage avant elle.

Mais comme c’était une maniaque de droite obsédée par l’ordre, elle trouvait toujours le moyen de me dire que je faisais le boulot qu’à moitié.

Quand on vivait ensemble et qu’elle rentrait chez elle à pied à 1h du mat, elle me saoulait pour que je l’accompagne parce que soi-disant, le quartier était “craignos”.

Déjà, ça veut dire quoi, “le quartier est craignos” ?? J’ai vite compris, malheureusement: ça veut dire trop de noirs et d’arabes. Et elle insistait en me disant des trucs réacs genrés du style “t’es un mec, je suis ta copine, tu dois me protéger”.

Je me souviens aussi du jour où elle voulait que je l’aide à porter des cartons dans son grenier et que je voulais pas salir mon pantalon. Elle m’avait sorti des insultes limites homophobes !

Mais ce qui a vraiment mis fin à notre relation, c’est tout ce qui s’est passé depuis notre agression. Moi, j’ai tout fait pour la soutenir après cet épisode difficile, pour lui redonner courage et l’empêcher de faire des amalgames.

Mais elle me parlait de “racisme anti-blanc” sous prétexte que le type qui l’avait agressé était maghrébin et l’avait traité de “sale pute blanche”. “Racisme anti-blanc”: ça fait vraiment dégueuler d’entendre ces concepts d’extrême-droite dans la bouche de sa copine. Pendant des heures, je lui ai expliqué qu’elle avait seulement été victime de la domination masculine et de l’ordre patriarcal avec cette agression. Que le racisme anti-blanc, ça peut pas exister. Que si le mec l’a traité de “sale blanche”, c’est pas du racisme mais de la résistance, vu que c’est les racisés qui sont victimes de la domination patriarcale blanche. Elle a jamais voulu entendre.

Du coup, je l’ai plaqué. Désolé, mais j’ai des convictions.

Pas de facho dans mon plumard !

Une secte dangereuse nous menace

Je suis en train d'investiguer sur une secte dangereuse et puissante que j'ai découvert il y a maintenant quelques mois. Je pense pouvoir préparer un grand reportage exclusif pour le Journal des Infos.

Cette secte est consacrée au culte de la divinité féminine Kiéla, divinité guidée par une entité masculine, Kaelo, l'esprit de lumière.

Cette secte curieuse mélange des symboles juifs, chrétiens et préhistoriques. Elle mêle par ailleurs des références religieuses à des théories prétendument scientifiques. Mais le plus insolite est sans doute leur panthéon qui rassemble les personnalités les plus hétéroclites: le général allemand Wilhelm Keitel avec le boxeur Mohammed Ali, des résistants de la seconde guerre mondiale avec des médecins du dix-neuvième siècle ayant contesté Pasteur...

À côté de cette secte, il y a des intellectuels qui n'en font pas officiellement partie mais qui répandent insidieusement son idéologie, permettant ainsi de créer un terreau favorable à de nombreuses conversions.

En affichant à l'extérieur une posture contestataire, le secte sait séduire de jeunes filles rebelles pour ensuite les manipuler et les obliger à se faire teindre les cheveux et à arborer des chapeaux improbables. Dès leur entrée dans la secte, les disciples sont invités à s'asseoir et à méditer sur des phrases en apparence anodines gravées sur des dalles. Et pendant cette méditation, on en profite pour les hypnotiser et en faire alors des esclaves dépourvus d'esprit critique.

Révélation explosive: cette secte se livre aussi au trafic d'œuvres d'art. Des peintures baroques dont je ne sais pas si elles sont des faux ou des œuvres volées sont utilisées dans leur temple pour impressionner les fidèles.

Leur temple est situé dans un paysage bucolique dans lequel les fidèles peuvent se livrer joyeusement et innocemment à toutes sortes de sports et d'acrobaties, au vélo, à la baignade dans une rivière, à la marche à pied ou à la simple contemplation de la nature. Mais ne nous y trompons pas : derrière cette façade tout à fait sympathique, c'est un nouveau fascisme qui se dresse.

Mais le plus explosif dans cette histoire est que derrière cette secte, on trouve un magnat de la télévision par satellite qui abreuve chaque jour la ménagère de moins de cinquante ans mais pas loin d'images morbides ainsi que d'apologies du nazisme cachées dans des images subliminales. Posséder des chaînes de télévision est pour cet homme un moyen redoutable de conditionner les esprits et ainsi les préparer à adhérer à la secte. Je ne peux pas vous révéler maintenant l'identité de cet homme, mais je peux vous dire que ça va faire mal.

Montage surréaliste présentant une terrible secte

Des nouvelles littéraires de mon cul

A la guerre comme à la guerre me disait ma mère !

Voilà, c’était le poème du jour.

Si ça vous a plu, je vous conseille de vous préparer à vous procurer mes ouvrages qui sortiront ce mois-ci:

* Mon amie la pute a quelque chose dans sa poche que j’avais oublié chez mon frère
* Pitchoboul: le matchamone qui roucouchcouche
* Il était une fois… deux fois… plus trois font vingt-neuf
* Oh là là si tu voyais mes genoux
* Gringalet le parmentier
* Il n’était pas des notres… Oh que non !
* Mon zizi a dit oui
* Par moment ça glisse
* On a pas pu le pouvoir
* Et dans ton gel… ça caille

Depuis que j’ai commencé ma carrière littéraire, j’ai du publiquer quelques dizaines de centaines de livres.

Je suis l’écrivain le plus prolifique de ma génération.

Christine Angot, elle peut aller se rhabiller et Yann Moix, n'en parlons pas.

Ne confondez pas le soleil avec une poubelle

Un matin, en me réveillant et en ouvrant les volets, je fus très surpris de voir que le soleil avait changé de couleur : il était vert ! Mais en y regardant de plus près, je compris qu'il ne s'agissait pas de soleil, mais d'une grosse poubelle qui en raison de la grève des éboueurs avait finit par se mettre en lévitation pour manifester son impatience.

Comment le droit devient bestial

"Que tout doive toujours pouvoir être remis en question, c'est probablement l'erreur capitale de notre époque. Aucune société, a dit Comte, ne peut subsister sans le respect unanime accordé à certaines notions fondamentales soustraites à la discussion. Et « la vraie liberté ne peut consister que dans une soumission rationnelle à la seule prépondérance convenablement constatée des lois fondamentales de la nature, à l'abri de tout arbitraire commandement personnel. La politique métaphysique a vainement tenté de consacrer ainsi son empire en décorant de ce nom de lois les décisions quelconques, si souvent irrationnelles et désordonnées, des assemblées souveraines, quelle que soit leur composition. Décisions d'ailleurs conçues, par une fiction fondamentale qui ne peut changer leur nature, comme une fidèle manifestation de la volonté populaire ».
Comment ne pas voir qu'un délire législatif développé pendant deux ou trois générations, habituant l'opinion à considérer les règles et les notions fondamentales comme indéfiniment modifiables, crée la situation la plus avantageuse au despote !
Le Droit mouvant est le jouet et l'instrument des passions. Qu'une vague porte au Pouvoir le despote, il peut déformer de la façon la plus fantastique ce qui déjà n'avait plus de forme certaine. Puisqu'il n'y a plus de vérités immuables, il peut imposer les siennes, monstres intellectuels comme ces êtres de cauchemar qui empruntent à tel être naturel sa tête, à tel autre ses membres. Établissant une sorte de « circuit alimentaire » il peut nourrir les citoyens d'idées que ceux-ci lui restituent sous forme de « volonté générale ». Cette volonté générale est l'engrais sur lequel poussent des lois de plus en plus divorcées non seulement de l'intelligence divine mais de l'intelligence humaine.
Le Droit a perdu son âme, il est devenu bestial."

Bertrand de Jouvenel, Du Pouvoir. Histoire naturelle de sa croissance, 1972

Recherche pièce de théâtre

Je me souviens vaguement d'une pièce de théâtre que j'ai vu il y a quelques années et dont je ne me souviens absolument pas du nom. C'était une pièce à propos d'un président destitué avec dignité. Si cela vous évoque quelque chose, merci de me le dire en commentaires.

Mon mur m'a offert une table

Tout n'est pas parfait dans mon appartement. Il y a un trou dans un de mes murs. Et cela fait plusieurs mois que ce trou vomit une espèce de boue rougeâtre. J'ai un moment pensé à faire intervenir un professionnel pour résoudre ce problème. Mais en s'accumulant, cette boue a finit par constituer une espèce de monticule qui pouvait tout à fait me servir de table. Plutôt que de payer un professionnel, utiliser la situation pour économiser l'achat d'une table, c'est plutôt intelligent, non ?

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