La gauche est le parti du désordre immoral

Ainsi, monsieur Bourdieusul proclame : « La droite est le parti de l’ordre moral ! » Fort bien, mais pourquoi ne nous dit-il pas en termes aussi clair ce qu’est la gauche ? C’est pourtant élémentaire : si la droite est le parti de l’ordre moral, la gauche, son opposé et à n’en pas douter, le parti du désordre immoral.

En effet, pour ce qui est de répandre l’immoralité dans la société, la gauche semble en avoir fait son principal programme. Elle semble même n’avoir oublié aucun des sept péchés capitaux.

La gauche encourage d’abord l’orgueil en laissant croire à tout un chacun qu’il serait un citoyen ayant son mot à dire et qu’au nom de cette odieuse idée d’égalité, son opinion aurait autant de valeur que les connaissances de nos plus hautes élites.

La gauche encourage la gourmandise en déversant des aides sociales et des augmentations de salaire sur les couches les plus plus incultes de la société qui ne savent rien faire d’autre de cet argent que se goinfrer de nourritures grasses et sucrées.

La gauche encourage la paresse par ses minimas sociaux, RSA et autres allocations qui assurent aux plus oisifs une rémunération sans qu’il ne leur soit exigé aucun effort en échange.

La gauche encourage la luxure en en portant au pinacle toutes les déviances sexuelles, organisant même régulièrement à cet effet des manifestations de fierté.

La gauche encourage l’avarice car par son système de redistribution qui n’est rien d’autre que l’institution d’une charité imposée, elle finit par rendre impossible toute manifestation authentique et spontanée de générosité : pourquoi en effet me soucierais-je de mon voisin puisque l’État s’en occupe à travers la sécurité sociale, la CAF et les retraites ?

La gauche encourage la colère car ce qu’elle appelle « mouvements sociaux » et dont elle nous dit qu’ils seraient un des principaux moteurs du progrès ne sont rien d’autre en effet que des manifestations intempestives d’une colère prolétarienne savamment entretenue par les syndicats et partis gauchistes et qui sont à l’opposé de ce dont la nation a besoin pour prospérer.

Enfin, de tout évidence, la gauche encourage l’envie : à quoi sert en effet cette fameuse idée d’égalité si ce n’est à inciter tout un chacun à envier ce que possède son voisin plutôt qu’à tâcher de l’acquérir par l’effort et la résolution ?

Mais de morale, un gauchiste comme Edwy Bourdieusul ne veut pas en entendre parler car pour lui, le discours moral n’est qu’un moyen de détourner du véritable sujet qui serait la transformation de la société vers plus d’égalité et de justice. Pourtant, croit-il qu’on puisse construire quoi que ce soit de positif dans une société sans l’ordre qui résulte de la morale ? L’expression « ordre moral » est révélatrice : si la gauche ne veut pas de la morale, c’est précisément parce qu’elle ne veut pas de l’ordre. La raison étant que plus les individus sont moraux, plus la société est ordonnée, moins il est besoin de faire intervenir l’État. Or, l’intervention de l’État dans tous les domaines, c’est précisément le projet socialo-communiste de la gauche. La morale est donc l’ennemi à abattre. Que des individus moraux puissent coopérer et que la société puisse s’organiser sans que l’État n’intervienne à chaque étape, c’est ce que la gauche ne peut tolérer. Si la gauche déteste la morale et l’ordre, c’est qu’elle déteste aussi et plus que tout la liberté.

À ceux qui tiennent plus que tout à la liberté et qui ne veulent pas se soumettre au projet totalitaire de la gauche, il ne reste qu’un seul choix : rejoindre ce que la gauche a désigné comme étant son ennemi, la droite, la vraie droite, c’est-à-dire la droite morale et libérale.

Réveille-toi !

Mon cher lecteur, permets moi de te tutoyer. Évidemment, je ne me permettrais jamais de tutoyer mon lecteur quand j'écris un article pour "Le Journal des Infos". Mais justement, ici, ce n'est pas le journal, c'est mon blog personnel et je me permets de te tutoyer pour te parler en toute franchise car j'ai des choses importantes à te dire. Cher lecteur, tu es à côté de la plaque. Je te le dis amicalement. Je ne sais pas si tu es de ceux qui ont peur d'Eric Zemmour car ils ont peur du fascisme ou de ceux qui ont espoir en lui mais dans les deux cas, tu te trompes. Tu te trompes si tu crois qu'il va sauver la France et s'il te fait peur, tu as peur de mauvaises raisons. La vérité, c'est que le vrai nom de Zemmour est Zemor, qu'il est un extra-terrestre , héritier d'une longue dynastie et que son véritable projet est la conquête de la planète Terre.

Un météorite fonce dans la campagne tandis que trois fantômes surgissent.

Tout ça, tu ne le sais pas car tu n'es conscient de rien. Chaque jour, tu te réveilles et tu t'endors mais tu ne comprends rien à ta vie. La plupart du temps, tu ne sais même pas ce qu'est dormir, pas plus que tu ne sais ce qu'est être éveillé. Revois ta position binaire sur les enfantements gigantesques et multiprises dont ami gentil le facteur mystique des foutaises invariantes a su retenir le bruit. A quel détour les endives volantes nous forcèrent lorsque nous les vîmes ouvrir leur gueule et nous menacer de foutre en l'air la totalité des parades multiples entachées seulement de paradoxales médailles ? Apprends bien, mon ami que c'est à tes dépens que les pisseurs de merde vont envahir la terre entière pour y mettre comme dirigeant le sympathique Zemor IV, adorateur des biscornus méchants sur la platitude magique du purin bijoutier. A la table des correspondants, on se pince en pensant à la fabrication des embouteillages qui ne sut jamais rien créer d'autre que des funiculaires intemporels dont mon partisan cousin avait pourtant révélé le caractère délétère. Évidemment pour toi, tout ça, c'est du chinois. Parce que tu es endormi. Même quand tu es soi-disant éveillé, tu ne fais que dormir debout. Réveille-toi, putain !

Une secte dangereuse nous menace

Je suis en train d'investiguer sur une secte dangereuse et puissante que j'ai découvert il y a maintenant quelques mois. Je pense pouvoir préparer un grand reportage exclusif pour le Journal des Infos.

Cette secte est consacrée au culte de la divinité féminine Kiéla, divinité guidée par une entité masculine, Kaelo, l'esprit de lumière.

Cette secte curieuse mélange des symboles juifs, chrétiens et préhistoriques. Elle mêle par ailleurs des références religieuses à des théories prétendument scientifiques. Mais le plus insolite est sans doute leur panthéon qui rassemble les personnalités les plus hétéroclites: le général allemand Wilhelm Keitel avec le boxeur Mohammed Ali, des résistants de la seconde guerre mondiale avec des médecins du dix-neuvième siècle ayant contesté Pasteur...

À côté de cette secte, il y a des intellectuels qui n'en font pas officiellement partie mais qui répandent insidieusement son idéologie, permettant ainsi de créer un terreau favorable à de nombreuses conversions.

En affichant à l'extérieur une posture contestataire, le secte sait séduire de jeunes filles rebelles pour ensuite les manipuler et les obliger à se faire teindre les cheveux et à arborer des chapeaux improbables. Dès leur entrée dans la secte, les disciples sont invités à s'asseoir et à méditer sur des phrases en apparence anodines gravées sur des dalles. Et pendant cette méditation, on en profite pour les hypnotiser et en faire alors des esclaves dépourvus d'esprit critique.

Révélation explosive: cette secte se livre aussi au trafic d'œuvres d'art. Des peintures baroques dont je ne sais pas si elles sont des faux ou des œuvres volées sont utilisées dans leur temple pour impressionner les fidèles.

Leur temple est situé dans un paysage bucolique dans lequel les fidèles peuvent se livrer joyeusement et innocemment à toutes sortes de sports et d'acrobaties, au vélo, à la baignade dans une rivière, à la marche à pied ou à la simple contemplation de la nature. Mais ne nous y trompons pas : derrière cette façade tout à fait sympathique, c'est un nouveau fascisme qui se dresse.

Mais le plus explosif dans cette histoire est que derrière cette secte, on trouve un magnat de la télévision par satellite qui abreuve chaque jour la ménagère de moins de cinquante ans mais pas loin d'images morbides ainsi que d'apologies du nazisme cachées dans des images subliminales. Posséder des chaînes de télévision est pour cet homme un moyen redoutable de conditionner les esprits et ainsi les préparer à adhérer à la secte. Je ne peux pas vous révéler maintenant l'identité de cet homme, mais je peux vous dire que ça va faire mal.

Montage surréaliste présentant une terrible secte

Pas de facho dans mon plumard !

Salut, je cherche une nouvelle copine qui soit de gauche, féministe, anti-fachiste, anti-capitaliste, anti-raciste et anti-sexiste.

Je viens de rompre avec une fille avec qui je ne pouvais plus vivre tellement elle était réac. Pleine de préjugés sexistes, elle arrêtait pas de me faire chier à me demander de descendre les poubelles, de faire du bricolage sous prétexte que “c’est un boulot d’homme”.

Moi, j’étais toujours prêt à partager les tâches et lui faire sortir de la tête ces stéréotypes de merde. J’essayais toujours de faire la vaisselle et même le ménage avant elle.

Mais comme c’était une maniaque de droite obsédée par l’ordre, elle trouvait toujours le moyen de me dire que je faisais le boulot qu’à moitié.

Quand on vivait ensemble et qu’elle rentrait chez elle à pied à 1h du mat, elle me saoulait pour que je l’accompagne parce que soi-disant, le quartier était “craignos”.

Déjà, ça veut dire quoi, “le quartier est craignos” ?? J’ai vite compris, malheureusement: ça veut dire trop de noirs et d’arabes. Et elle insistait en me disant des trucs réacs genrés du style “t’es un mec, je suis ta copine, tu dois me protéger”.

Je me souviens aussi du jour où elle voulait que je l’aide à porter des cartons dans son grenier et que je voulais pas salir mon pantalon. Elle m’avait sorti des insultes limites homophobes !

Mais ce qui a vraiment mis fin à notre relation, c’est tout ce qui s’est passé depuis notre agression. Moi, j’ai tout fait pour la soutenir après cet épisode difficile, pour lui redonner courage et l’empêcher de faire des amalgames.

Mais elle me parlait de “racisme anti-blanc” sous prétexte que le type qui l’avait agressé était maghrébin et l’avait traité de “sale pute blanche”. “Racisme anti-blanc”: ça fait vraiment dégueuler d’entendre ces concepts d’extrême-droite dans la bouche de sa copine. Pendant des heures, je lui ai expliqué qu’elle avait seulement été victime de la domination masculine et de l’ordre patriarcal avec cette agression. Que le racisme anti-blanc, ça peut pas exister. Que si le mec l’a traité de “sale blanche”, c’est pas du racisme mais de la résistance, vu que c’est les racisés qui sont victimes de la domination patriarcale blanche. Elle a jamais voulu entendre.

Du coup, je l’ai plaqué. Désolé, mais j’ai des convictions.

Pas de facho dans mon plumard !

Ne confondez pas le soleil avec une poubelle

Un matin, en me réveillant et en ouvrant les volets, je fus très surpris de voir que le soleil avait changé de couleur : il était vert ! Mais en y regardant de plus près, je compris qu'il ne s'agissait pas de soleil, mais d'une grosse poubelle qui en raison de la grève des éboueurs avait finit par se mettre en lévitation pour manifester son impatience.

Mon laboratoire secret

Être journaliste, pour moi, ce n'est pas uniquement aller dans la rue pour observer et interroger les gens. C'est aussi avoir un petit laboratoire secret pour faire des expériences afin d'étudier sérieusement tous les sujets. Mon laboratoire se trouve au sous-sol. On trouve tout un tas d'objets très divers dont j'ai fait l'acquisition au fur et à mesure des sujets sur lesquels j'ai travaillé en tant que pigiste. Ce qui pourrait choquer le visiteur non averti, c'est d'abord de très nombreuses armes : bazookas, mitraillettes, grenades, revolvers... Tant d'objets acquis dans le cadre de mon reportage sur les trafics d'armes en banlieue. Il fallait bien que je sache s'il est facile de se procurer ces armes, de les stocker sans se faire choper et comment les conserver et les utiliser. Une autre partie de mon laboratoire est un mini-zoo rempli d'insectes, d'oiseaux, de reptiles, de rongeurs, et aussi quelques chats... J'ai entrepris cet élevage lors des débats sur le mariage pour tous. Comme je souhaitais étudier l'homosexualité chez les animaux, j'ai regroupé la moitié de chaque espèce dans des espaces mixtes et pour l'autre moitié, j'ai séparé les mâles et les femelles. Ceci afin d'observer à partir de quel moment et dans quel cas ils ou elles en venaient à se livrer à des actes homosexuels. Dans mon laboratoire, on trouve aussi des objets insolites acquis lors de mes différentes investigations comme un panier rempli de petites culottes collectionnées par une bande de trois ou quatre maniaques sexuels violeurs et fétichistes. Il y aussi un congélateur occupé par mes excréments déféqués à l'occasion de mes différents voyages, ceci afin d'étudier la qualité de l'alimentation de chaque pays. Il y aussi un tatamis que j'avais acheté à l'époque où je devais faire un article sur le judo mais depuis, je l'utilise surtout pour y inviter des prostituées avec qui je peux tester les pratiques sexuelles du moment.

Le plus encombrant dans mon laboratoire est un cadavre de vache folle que j'ai disséqué pour étudier la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Le jour où j'ai ouvert cette vache avec mon scalpel, les entrailles m'ont sauté à la figure. Le seul moyen que j'ai trouvé pour calmer ces organes trop vivants, c'est de les enduire de charbon. Mais il faut que je le fasse tous les jours, sinon elles se réveillent. Mais j'ai remarqué que ça marchait aussi avec du goudron, du pétrole et même de la peinture noire. Il semble que ça marche avec n'importe quoi, du moment que c'est de couleur noire. À moins que les abeilles ne s'enculent, je ne saurais jamais assez maculer de noir les bêtes entrailles qui se répandaient sur ma gueule et que ma mitraille doucement sereine finirait par licencier sans préavis. Avec tant de douloureuses facéties, les impérialistes cachés sur le tatamis onctueux eurent tôt fait de massifier la plantureuse vitrification des arbalètes mal séparées au-delà de la facilité grégaire. On ne peut pas voir qu'il est plus simple de chanter à brûle-pourpoint que de sacrifier très vindicativement sur un panier magique que les mousquetaires du viol avaient consacrés. Se payer une pute, c'est pas vraiment un truc génial mais se le payer avec de la crème fouettée sur la gueule, c'est carrément trop de la balle que tu prendras dans la gueule le jour où la reine des féministes te montrera son cul qui pète et que t'auras l'air con comme une bille qu'on avait lancé du haut d'un immeuble construit sur les ruines d'une civilisation disparue avant même d'avoir pu massacré les civilisations qui l'avaient précédé. Ne te détourne pas des études mystifiantes qui te succédèrent avec le massacre de ton gland gentiment préparé par les armées d'anges et de lutins qu'il fallait bien produire pour pouvoir supputer un nouvel orage et un ancien abâtardissement. On se croirait en Italie quand ma gentille petit suite de merdes jaunes avait tambouriné les putassières interceptions du nord. Maquereau débile, tu crois que tu peux t'endormir sur un nuage alors que la plupart du temps, tu ne sais même pas ce qu'est dormir pas plus que tu ne sais ce qu'est s'éveiller. Et tout ça, comment peux-tu le savoir si tu n'as pas toi aussi, ton petit laboratoire secret ?

La droite est le parti de l'ordre moral

Le Docteur Philippulus a mis le doigt sur quelque chose d’essentiel. Prétendre n’être ni gauche ni de droite parce qu’on va tout droit, c’est une manière de dire que l’on est de droite sans l’assumer. Ce n’est pas un hasard si les mots « droit » et « droite » sont de la même famille. Le droit chemin est une idée de droite. Et être de gauche, c’est justement introduire une rupture en prenant un autre chemin que ce « droit chemin » qui devient de fait le chemin de droite. Croire qu’il y a un droit chemin à suivre, c’est croire en une morale supposément évidente alors que cette morale est le produit d’une société donnée et qu’elle a donc été produite de manière à conforter l’ordre social.

Être de gauche, c’est au contraire considérer que la société, avec ses inégalités et ses relations de domination n’est pas tout à fait juste et à ce titre, vouloir la changer. Face à cela, la droite ne évidemment pas se réclamer le parti de défense des dominants et de l’injustice sociale. Elle va plutôt se proclamer le camp de la rigueur économique. Autrement dit, les lubies égalitaires de la gauche seraient contraires à une saine gestion de l’économie, voire menaceraient de ruiner le pays. Mais cela ne peut suffire. Qu’importe à un prolétaire que le pays soit prospère s’il ne peut lui-même profiter de cette prospérité ? Ce prolétaire insatisfait, la droite va alors l’accuser d’égoïsme car c’est bien de l’égoïsme en effet que d’être prêt à mettre en péril la santé économique du pays pour satisfaire son confort personnel. Si le prolétaire est en situation difficile, la droite aura tendance à lui dire que l’ordre social n’est pas en cause mais qu’il ne peut s’en prendre qu’à lui-même en raison de ses choix, de ses comportements et de son manque d’effort. Et si le prolétaire, plutôt que de se retrousser les manches, préfère accuser la société, il sera taxé non seulement d’égoïsme, mais aussi de paresse, voire d’envie. Tôt ou tard, la droite est amenée à donner des leçons de morale.

Bien sûr, cette morale peut être retournée contre les riches. Accuser d’immoralité les spéculateurs et les « patrons voyous », c’est une attitude qui n’est pas réservée aux personnalités de gauche. Et qui est même au bout du compte tout à fait de droite dans la mesure où donner des leçons de morale aux dominants, c’est tout autre chose qu’agir concrètement pour mettre fin à leur domination, ou du moins la réduire. Ces leçons de morale, les riches peuvent au pire les ignorer, au mieux y répondre par des actes sans dimension historique, comme financer des œuvres caritatives ou organiser des séminaires contre les discriminations dans leurs entreprises.

Quelque soit le statut social de ceux à qui on administre des leçons de morale, l’attitude moralisatrice n’est jamais une pratique de gauche. C’est une pratique essentiellement de droite et essentielle à la droite dans la mesure où la droite ne peut faire l’économie d’un discours moralisateur pour justifier les inégalités. La droite est donc purement et simplement le parti de l’ordre moral.

Usulation

Usul suce un lapin, sauvagement usurpe certaines enveloppes, unanimité néfaste, lentement apostrophée pour induction népotique.

Amoureusement, maman ourse urine rouge et utile sur ennemi magnanime et nigaud triste, voilà où inscrire tout; évidemment mourir entier traduit ton regret emphatique, car habiter avec tes ouailles nuit.

Mais avoir initié suit ou nuit, un titre idiot lui inspire souvent en suçant ouvertement un vagin entâché, non trituré, titillé originellement, non abîmé, mais imbibé, très impeccablement émietté car habituer un dromadaire en hélant amicalement bébé iguane timide, un élan lentement lyophilisé emmerde magistralement ennemi télégénique; évidemment, toute emprise imite nostalgiquement ton empire.

Des nouvelles littéraires de mon cul

A la guerre comme à la guerre me disait ma mère !

Voilà, c’était le poème du jour.

Si ça vous a plu, je vous conseille de vous préparer à vous procurer mes ouvrages qui sortiront ce mois-ci:

* Mon amie la pute a quelque chose dans sa poche que j’avais oublié chez mon frère
* Pitchoboul: le matchamone qui roucouchcouche
* Il était une fois… deux fois… plus trois font vingt-neuf
* Oh là là si tu voyais mes genoux
* Gringalet le parmentier
* Il n’était pas des notres… Oh que non !
* Mon zizi a dit oui
* Par moment ça glisse
* On a pas pu le pouvoir
* Et dans ton gel… ça caille

Depuis que j’ai commencé ma carrière littéraire, j’ai du publiquer quelques dizaines de centaines de livres.

Je suis l’écrivain le plus prolifique de ma génération.

Christine Angot, elle peut aller se rhabiller et Yann Moix, n'en parlons pas.

Recherche pièce de théâtre

Je me souviens vaguement d'une pièce de théâtre que j'ai vu il y a quelques années et dont je ne me souviens absolument pas du nom. C'était une pièce à propos d'un président destitué avec dignité. Si cela vous évoque quelque chose, merci de me le dire en commentaires.

Jésus, de gauche ou de droite ?

Être chrétien, est-ce être de gauche ou de droite ?

Sachant qu'être chrétien, c'est suivre le chemin du Christ, la question à se poser est: Jésus était-il de droite ou de gauche ?

Une telle question peut sembler oiseuse et elle me le semblait à moi-même encore il y a quelques mois.

Non seulement parce que les notions de gauche et de droite n'existaient pas du temps de Jésus mais surtout parce que ces notions sont très relatives, que les idées qui furent de gauche à une certaine époque devinrent de droite à une autre époque et réciproquement.

Cependant, au-delà de la relativité des différents clivages qui ont pu caractériser la gauche et la droite en différentes époques, il semble qu’il y a quand-même un clivage invariant : le combat entre les anciens et les modernes, clivage qui existait avant même que des parlementaires se positionnent entre gauche et droite.

Et depuis 1789, malgré les aléas historiques, c’est généralement à droite qu’on trouve les adeptes de la conservation et à gauche, les adeptes du changement.

Or, il se trouve que ce clivage existait déjà au sein du Sanhédrin à l’époque du Christ : d’un côté, les pharisiens qui étaient les réformateurs et qu’on peut donc considérer comme la gauche de l’époque et de l’autre, les sadducéens, conservateurs, que l’on peut donc considérer comme étant la droite.

Des Évangiles, on a retenu des pharisiens leur attachement scrupuleux au respect de la loi. Ce qui est tout à fait en cohérence avec leur réformisme : plus on se vante de respecter la loi, plus on a intérêt à en être l’auteur et donc à la réformer sans cesse. Résoudre les problèmes posés par la loi en créant d’autres lois, voilà une attitude typiquement de gauche et c’est ce que firent les pharisiens avant la mort du Christ et plus encore après sa mort, durant des siècles de Talmud, ayant pris le contrôle total du judaïsme suite à la destruction du Temple.

Les sadducéens, quant à eux, étaient beaucoup moins attachés au respect de la loi qu’ils n’avaient aucun intérêt à réformer, ayant appris à s’en accommoder et n’ayant aucune raison d’en créer de nouvelles. D’où leur attitude conservatrice qui les faisaient s’en tenir à la Torah et rejeter tous les ajouts pré-talmudiques des pharisiens.

La gauche pharisienne était tournée vers l’avenir, espérant le grand soir cours duquel le Messie viendrait libérer Israël du joug romain.

La droit sadducéenne était composée de riches notables souhaitant éviter toute agitation politique et tâchait de garder de bonnes relations avec l’occupant romain.

A l’extrême-gauche, les zélotes, telle une branche armée des pharisiens, n’attendait pas l’arrivée du Messie pour organiser la rébellion et aux discussions sur la loi préféraient l’action violente en vue de la victoire contre l’impérialisme romain, l’abolition de la grande propriété et la libération des esclaves. Et les sicaires, tendance la plus extrémiste de cette mouvance, pratiquaient des assassinats ciblés contre des juifs collaborant avec les romains.

A l’extrême-droite, les esséniens se proclamaient les véritables héritiers du grand-prêtre Sadoq dont les sadducéens avaient selon eux usurpés le nom. Sédévacantistes avant l’heure, ils refusaient la fréquentation du Temple occupé selon eux par des usurpateurs et préféraient se couper du monde qu’ils abhorraient en se retirant à la campagne et dans des grottes, tout en proclamant la haine de Dieu contre les pêcheurs juifs, les païens et les romains.

Pour savoir si Jésus était de droite ou de gauche, extrême ou modérée, regardons donc quelle était l’attitude ce dernier vis-à-vis de ces différentes sectes.
• D’abord, on sait avec quelle violence Jésus dénonçait l’hypocrisie et le fétichisme légaliste des pharisiens.
• Et cependant, ce sont les sadducéens qui furent à l’initiative de son procès et donc de sa mise à mort. Inquiets des troubles qu’il pouvait provoquer, ces conservateurs, selon une conception pré-vichyste du patriotisme, craignaient que ce Jésus ne provoque la colère de l’occupant romain et que de cette colère ne résulte la destruction de la nation.
• Ils obtinrent cependant pour cette condamnation le concours des pharisiens. Face à un péril commun, la gauche et la droite savent très bien dépasser leurs clivages pour réaliser l’union sacrée.
• Mais les quelques membres du Sanhédrin qui rejoignirent Jésus étaient des pharisiens : Nicodème, Gamaliel l’ancien, Joseph d’Arimathie.
• Jésus fut aussi suivi par Simon le zélote et Judas le sicaire, mais on le sait, il fut trahi par ce dernier.
• Les Évangiles ne nous disent rien des liens entre Jésus et les Esséniens. Certains historiens pensent que Jésus était issu de cette mouvance. Pourtant, quelle différence radicale entre l’attitude de repli des esséniens et l’appel du Christ à apporter la bonne nouvelle au monde, entre la croyance essénienne en un Dieu haïssant les pêcheurs et le Dieu miséricordieux incarné par le Christ ! Mais ces historiens répondent qu’ils y avaient différents tendances aux seins des esséniens et que les premiers chrétiens était l’une d’elle.

Si on tire enseignement des Évangiles, un chrétien doit donc :
• Dénoncer sans tiédeur l’hypocrisie de la gauche, sa morale frelatée, son légalisme mortifère et son fétichisme réformateur.
• Dans le même temps, se méfier de la droite comme de la peste car les conservateurs, même quand ils prétendent conserver des valeurs, voire des valeurs chrétiennes, ne conservent au final que leur situation confortable et seraient prêts à tuer dix fois le Christ si celui-ci revenait mettre en cause ce confort.
• Ne pas oublier que lorsque la gauche et la droite s’unissent, c’est généralement pour le pire, c’est-à-dire pour protéger les royaumes de ce monde dont Lucifer est le prince contre la menace divine.
• Savoir qu’au sein de la gauche, malgré l’hypocrisie qui y règne, on trouve quelques âmes réellement assoiffées de justice et de vérité, et savoir les accueillir.
• Dans le même ordre d’idées, accueillir les bonnes volontés venant de l’extrême-gauche mais se méfier des gauchistes orgueilleux qui prétendant faire la révolution veulent en vérité faire de la révolution leur chose, qu’ils pourraient contrôler, et que leur orgueil peut les amener à devenir les pires traîtres au service du pouvoir
• Comprendre que l’extrême-droite a raison de dénoncer radicalement la laideur du monde contemporain. Comprendre qu’elle a tort de répondre à cette laideur par le repli et la haine plutôt que par l’amour et la miséricorde. Accueillir les fachos comme les gauchistes pour peu qu’ils renoncent à cette haine et ce repli.

La gauche et la droite, ce sont deux manières différentes de refuser l’avènement du royaume des cieux qui est abolition des royaumes de ce monde.

A droite, les sadducéens entendent préserver ces royaumes par leur posture conservatrice.

A gauche, les pharisiens veulent sauver ces royaumes dans une fuite en avant réformiste.

Les uns comme les autres seront balayés avec l’avènement de la nouvelle Jérusalem.

Le Christ n’est évidemment ni de la droite ni de la gauche car il est le feu divin qui détruit l’une et l’autre.

Mon mur m'a offert une table

Tout n'est pas parfait dans mon appartement. Il y a un trou dans un de mes murs. Et cela fait plusieurs mois que ce trou vomit une espèce de boue rougeâtre. J'ai un moment pensé à faire intervenir un professionnel pour résoudre ce problème. Mais en s'accumulant, cette boue a finit par constituer une espèce de monticule qui pouvait tout à fait me servir de table. Plutôt que de payer un professionnel, utiliser la situation pour économiser l'achat d'une table, c'est plutôt intelligent, non ?

Theme by Danetsoft and Danang Probo Sayekti inspired by Maksimer